Ces labyrinthes dont on perd la trace (la disparition de Borges)
C’était en 1983, à moins que ce ne fut en 1985, je le tiens d’amis normaliens Guy Barbulesco, Luc Fessier, ou peut être bien du poète Sourdillon, Schiano — ma mémoire tremble ! —, alors que je corrigeais inlassablement un article, une copie, que je révisais un cours, lisais un essai sur L’Emploi du temps de Butor, Le Château de la colère de Barricco, Greenaway, Perrec, Perrault, non, sur la Douat des Anciens égyptiens, dans un de ces interminables RER de la fourmilière parisienne, je me suis (…)