Raymond Cousse, le néo-colonialisme ironique

L’innocence est ce qu’il y a de plus difficile à perdre. Surtout en Afrique. Raymond Cousse a eu la capacité de l’avoir laissée sur le chemin d’Abidjan. Signe d’une lucidité hors norme. L’élastique de chagrin dont il parle et qui le sépare de la Beauce s’est presque allongé à l’infini : il a cassé avant, et avec lui tous les ressorts de l’auteur. 1990, Cousse se suicide l’année de la publication de son livre “La Découverte de l’Afrique”, ce qui fait de l’ouvrage plus qu’une simple (…)

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