Téhem, le regard de l’enfance
Il n’y a pas si longtemps qu’un de mes collègues récemment dans l’île me confiait ceci : « Samedi, j’ai fait le tour de La Réunion. C’est tout petit ! Un de ces quatre matins, je me réveillerai, et j’étoufferai ».
Saisi par l’empathie, je ne lui ai pas dit ce que j’aurais dû : qu’il fallait compter un peu plus sur l’infini visage de l’homme.
Téhem, aussi, s’en tient à des lieux communs. Qu’il s’agisse de peindre les personnages d’un village des Hauts, nous trouvons le curé rabat-joie, (…)