C’en est trope !

Ce que la mer laisse en partant : pirates, forbans, flibusteries

Il est un long poème de Baudelaire qui fait de la lecture enfantine une traversée du monde, ou si on veut être plus exact, une lente oscillation entre le moi et l’ailleurs, toujours plus accentuée : c’est ce qui se balance dans le vent de l’esprit. Le mouvement y est tout. « Pour l’enfant amoureux de cartes et d’estampes, L’univers est égal à son vaste appétit. Ah ! Que le monde est grand à la clarté des lampes. (…) Chaque îlot signalé par l’homme de vigie Est un Eldorado (…)

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