Le jour et la nuit de la dysphasie
« Si je ne me brûle pas au poison des profondeurs, comment pourrais-je obtenir un peu de lumière ? ». L’image fulgurante de la sagesse chinoise reflète le sentiment ambivalent qu’éprouve le parent d’enfant porteur de handicap. Cette posture à la chinoise, Pearl Buck l’a radicalement trahie comme s’en fait état “L’Enfant qui ne devait jamais grandir” , traduit et publié aux éditions Stocks en 1950, jamais republié depuis. Parce qu’il ne peut plus l’être. L’unique fille de l’écrivain n’a pas (…)