Biens mal acquis ne prospèrent jamais
Les médias aiment bien les créatures qu’elles fabriquent. Ils ne lésinent jamais sur les occasions de les enjoliver et les parer de toutes les vertus. Ils vont ensuite leur donner une âme en cherchant ou inventant un contraire, obligatoirement situé aux antipodes de leurs œuvres. Puis un jour, patatras... les consommateurs découvrent un défaut de fabrication. Rien n’est pardonnable à l’ère du marketing politique.
Le cas d’Eric Fruteau. Il a eu tous les honneurs des médias. Il suffit de (…)