Le vernis du violon L’atome, le clinamen et la théorie de la tartine (7)
“500 ans d’impostures scientifiques” par Gérald Messadié, aux éditions de l’Archipel.
On dit que les craquelures du vernis du violon qui apparaissent au fil du temps en viennent à modifier la texture de son son : soit en bien, soit en mal, mais qu’il est impossible de le savoir avant qu’elles ne paraissent. Ce qui est valable pour le violon l’est aussi pour la science.
Lorsque la science tourne mal, qu’elle se met à jouer avec les allumettes, c’est aussi avec le nucléaire qu’elle (…)