Au nom du mensonge (4)
Un serveur aussi personnel et agréable qu’un courrier de la BRED vient nous servir nos tasses de café.
Je laisse tomber la cuillère.
- Trop amer. Il faudrait le sucrer à outrance pour qu’il soit buvable.
- Tout comme la société, répond Pierre. Il reprend : Le problème du mensonge, c’est qu’il s’agit de lui opposer quelque chose de fort et de cohérent. (Derrière ses propos je sens percer le lanceur d’alerte de Facebook qui lui fait dire qu’un matin, il entendra les gendarmes taper à sa (…)