A Sainte-Suzanne, Yolande Pausé et Daniel Alamélou assument l’intérim de Maurice Gironcel, tombé sous le coup de la justice coloniale. Tout le monde reconnaît le caractère injuste de la décision et l’engagement est pris de retourner aux urnes, sitôt qu’il recouvre se droits. En effet, si les magistrats rendent la justice au « nom du peuple », alors interrogeons le peuple. Au moment de respecter les engagements et de recourir au peuple souverain pour trancher, c’est Huguette Bello qui (…)