Le ballet des hypocrites
Les obsèques de Roland Robert ont beaucoup occupé le week-end. Il faudrait des milliers de pages et des kilomètres de bobines si on veut rendre compte des émotions et des paroles de la masse de gens qui est allée saluer sa dépouille. Tout le monde a rendu hommage à l’homme de dialogue et d’ouverture qu’il a incarné. L’ennui, c’est qu’on le dit quand il est mort.
Cette remarque cible quelques personnes connues pour leur attitude contradictoire. En effet, pourquoi ne le lui avoir pas dit de (…)