Le vote de confiance sera-t-il vidé de sa substance ?
Dans une semaine, le 16 septembre, le Premier ministre Valls exposera la politique de son gouvernement et demandera la sanction des Députés. Il n’était pas obligé de passer par « le vote de confiance ». Pourquoi le fait-il alors ? Quelles pourraient en être les conséquences ?
Les observateurs ont noté que Valls avait profité du « couac » de Montebourg pour exiger l’allégeance des autres membres du gouvernement à sa politique. La cohérence gouvernementale est sauve à l’issue de la (…)