Si la France tombe sous le coup des sanctions de Bruxelles, La Réunion subira fortement les conséquences
Rien ne va plus en France et le premier des ministres étale ses sentiments : « j’aime l’entreprise » a été décliné en allemand, puis en anglais. Les observateurs étrangers s’amusent de cette déclaration d’amour. Cela ne suffit pas pour faire fléchir les autorités européennes qui ont les yeux rivés sur la ligne des 3 % du déficit budgétaire. L’intransigeance européenne risque de conduire à une catastrophe pour La Réunion.
Vous ne pouvez pas ouvrir un média français ces jours-ci sans tomber (…)