Des responsables ne veulent pas payer leurs erreurs
En 2011, la Libye était un pays encadré par deux autres où le Printemps arabe était précoce : la Tunisie et l’Egypte. Le renversement des présidents de ces deux pays allait donner des idées aux opposants au gouvernement libyen. Ils ont organisé la sécession de l’Est de la Libye. Mais au bout de quelques semaines, ils étaient en train de perdre leur pari. C’est là que Sarkozy est intervenu. Il a lancé les armées de l’OTAN dans une opération de soutien aux rebelles. Au bout de quelques mois, (…)