L’enfant derrière la vitre
La Vie ripolin de Jean Vautrin, éditions Mazarine.
À une époque, on disait que c’était Ripolin qui avait peint la mer en bleu. On appelait ça de la « réclame ». Riri, Polo et Rino, démultipliés en buvards, se peignant le dos, face à un mur, étaient de fameux monte-en-l’air pour les écoliers amateurs de pieds nickelés, de vrais passe-muraille, des héros. Picasso, Picabia eux-mêmes utilisaient la finition Ripolin, Le Corbusier évoquait une certaine « loi Ripolin » devant laquelle il (…)