Ce qu’on appelle être là, quand on est privé de liberté

Le Nain noir de Walter Scott, éditions des Grands Écrivains. C’est folie que de vouloir juger les hommes par le prisme de leurs folies, davantage encore à considérer que « homo homini lupus », que l’homme n’est que la proie de l’homme, surtout quand il s’agit d’une humanité qui manque à son devoir de logique : « Pourquoi la race des hommes ne s’entr’égorgerait-elle pas, fait dire Walter Scott à son personnage, jusqu’à ce que, le genre humain détruit, il ne reste plus qu’un monstre (…)

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