Le cadavre giflé
Sous quelles fourches caudines, quels mâts de potence, André Breton se tenait-il, pour, en 1924, à peine le vieil Académicien nobélisé Anatole France décédé, qu’il demanda qu’on « vidât une boîte des quais de Paris de ces vieux livres ‘qu’il aimait tant’ pour y enfermer son cadavre et jeter le tout à la Seine » ?
Déjà du vivant de l’auteur, les contemporains avaient commencé le travail, beaucoup avaient enterré l’écrivain. André Suarès ne reconnaissait-il pas volontiers que son œuvre « (…)