Ericka Bareigts et Monique Orphé mauvais exemples de la moralisation de la vie politique
« Si une loi est bonne pour La Réunion je la voterai, si elle n’est pas bonne pour La Réunion, je m’y opposerai », c’est en substance le mot d’ordre de candidats qui aspirent à devenir députés ou à le rester. Au moment où est déposé sur le bureau du Sénat le projet de loi sur la moralisation politique, un tel mot d’ordre interpelle.
En effet, les candidats qui s’expriment de la sorte veulent siéger dans le groupe de La République en Marche, ou alors disent qu’ils voteront la confiance au (…)