L’arrogance du “oui”

Jacques Chirac l’a répété hier dans le Triangle de Weimar, en présence du chancelier Schrœder et du président polonais : en cas de victoire du “non” en France, il n’y a pas de “plan B” (une solution de rechange) et il n’y aura pas de renégociation. "Avec qui pourrions-nous renégocier ?", a-t-il dit. Ce n’est pas parce que le chancelier allemand lui a emboîté le pas dans ce mensonge grossier qu’il faut se laisser impressionner par l’impudence de l’argument. D’abord parce qu’il n’est pas (…)

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par les responsables.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.