Vous avez dit “reforme” ? Parlons-en !
La chose n’est pas nouvelle : quand un nouveau pouvoir, quel qu’il soit, se met en place, un mot vient presque automatiquement dans sa communication, celui de ’ REFORME ’, indiquant par là-même sa volonté de changer, de transformer. C’est bien là que se situe le piège : ce n’est pas tant sa volonté réelle de changer qui est forcément en cause, même s’il est toujours possible qu’ il ne fasse rien de ce qu’ il a pu annoncer. C’est le contenu, l’orientation des changements qui comptent ! Nous (…)