Au cadran de ma montre (3)

Qui a tué mon père d’Edouard Louis, éditions du Seuil (12 € en France ; 13,80 € à La Réunion). L’horloge de l’aérogare s’est arrêtée. Les aiguilles se sont pliées et ne font plus même semblant de bouger. La trotteuse s’est figée sur un “tac” énorme, continu, résonnant. C’est une petite fée qui vient de Paris qui a tout bloqué, elle est l’origine et la fin de ce prodige renouvelé. Je comprends que le cadran de ma montre ne me montre rien de moins que le reflet mort du temps… Le XIXe (…)

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