Une agression repoussée
Dans l’édition du “Monde” datée d’hier, Valéry Giscard d’Estaing tire des enseignements du refus du projet de Traité constitutionnel européen par les électeurs français et néerlandais. Selon lui, seules les deux premières parties du texte devaient être envoyées aux électeurs ; la troisième partie, celle qui veut figer dans le marbre de la Constitution une politique économique ultra-libérale, aurait dû être "à la disposition des électeurs dans les mairies".
Ce raisonnement se base sur (…)