Encore un héritage du colbertisme
La petite histoire de l’application StopCovid illustre à merveille un mal bien français : son terrible centralisme.
Pour résumer, deux choix s’opposaient : un serveur centralise la totalité des données des téléphones, les compare et renvoie des alertes quand nécessaire ; ou, une application autonome fait le travail sur chaque téléphone, sans serveur central et uniquement avec les données qui le concerne. Ce deuxième choix est plus sécurisé, car les données sont dispersées sur des millions (…)