La fille au labyrinthe de Truman Capote

Petit déjeuner chez Tiffany de Truman Capote, en folio. J’ai pensé à Pierre Gripari à la lecture du « Petit Déjeuner de chez Tiffany ». Le Gripari du restaurant populaire de chez Dany. Une inflexion de voix, un ton, une gouaille : lorsqu’il lançait à la cantonade, s’adressant à un déménageur qui rentrait prendre un bock : « En voilà un à qui je n’ai pas dit tout le bien que je pensais de lui ! » Un côté tressautant, sautillant, enjoué et rieur. Un Gripari sans aigreur d’estomac. (…)

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