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Au Vénézuela, ils sont quinze mille à débattre durant une semaine
12 août 2005
Au programme de ces rencontres planétaires : solidarité, paix, échanges politiques et culturels, débats pour une alternative au néolibéralisme... Plus de 130 pays seront présents, dont une délégation française. Un article paru dans le journal ’l’Humanité’ que nous reproduisons ci-après.
Che Guevara, le libertador Simon Bolivar aux côtés de Karl Marx et de Lénine, une colombe de la paix surgissant d’une planète aux couleurs des cinq continents... Un peu partout dans la capitale vénézuélienne, des fresques murales souhaitent la bienvenue aux délégués du 16ème Festival mondial des jeunes et des étudiants (FMJE).
Depuis lundi dernier et jusqu’au 15 août, quelque 15.000 jeunes, représentant plus de 130 pays, ont rendez-vous à Caracas pour partager des expériences et discuter les bases d’une construction alternative au monde capitaliste.
Une longue tradition
La solidarité, l’amitié, la paix, le dialogue entre les peuples sont les fils conducteurs de cette édition, s’inscrivant ainsi dans la longue tradition d’un mouvement festivalier né au lendemain de la Seconde Guerre mondiale sous l’impulsion de la Fédération mondiale de la jeunesse démocratique (FMJD).
À l’époque, les délégués s’assignaient pour but de ne plus jamais voir le monde revivre l’horreur de la barbarie nazie. Depuis, ils ont participé activement aux mouvements pour la paix et la décolonisation, défendant les luttes émancipatrices des peuples, fêtant également leur contribution à la libération d’Angela Davis ou encore de Nelson Mandela.
"Un autre monde est possible"
La manifestation de cette semaine dans la capitale vénézuélienne est marquée par un programme intensif et festif. Une semaine durant laquelle jeunes communistes, socialistes, écologistes, pacifistes, croyants, syndicalistes du monde entier, représentant plusieurs centaines d’organisations, relèvent le défi de débattre, dans le respect de leur diversité de sensibilité et d’approche, des enjeux auxquels ils sont confrontés.
Paix, guerre et impérialisme, éducation, culture, science et technologie, économie, emploi et développement, démocratie et droits humains, tout ce qui touche à leur vie et au devenir de la planète a droit de cité. Un tribunal anti-impérialiste se charge de dresser un réquisitoire des politiques de domination.
D’alternative concrète au néolibéralisme, il est bien sûr question pour ces jeunes aspirant, dès à présent, à un monde meilleur, en écho à la phrase du poète Paul Éluard : "Un autre monde est possible mais il est dans celui-là."
Un endroit bien choisi
Après un passage par le continent africain en 2001, le FMJE renoue avec l’Amérique latine. À ce propos, le festival pouvait-il espérer meilleur endroit que ce berceau des forums sociaux mondiaux, théâtre de résistances populaires aux politiques d’exploitation et à l’hégémonisme de Washington ?
Et les délégués de découvrir une République bolivarienne effervescente en rupture avec le capitalisme débridé. "Le fait que le festival ait lieu au Venezuela a motivé la participation", affirme Vincent Bordas, président du Comité national de préparation français. "L’ouverture et la diversité latino-américaine, les changements en cours au Venezuela sont autant de facteurs qui remplissent la mission de tout festival : la découverte de peuples, de pays et d’organisations."
Solidarité
La délégation française, avec ses 175 représentants, composée des jeunes CGT, des associations Malades et invalides et Quartiers du monde, d’ATTAC et du Mouvement jeunes communistes, est partie outre-Atlantique avec pour bagages ses expériences comme celle du “non” au référendum du 29 mai et ses envies d’actions concrètes, à l’image du Fonds de solidarité international du festival.
Avant de s’envoler pour Caracas, la délégation a versé une part de sa collecte pour financer le voyage de délégués africains, dont les Sahraouis avec lesquels elle entend renforcer davantage ses liens.
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