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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Visite du dirigeant de Siryza
23 mai 2012, par
Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées à l’appel du Front de gauche de Jean-Luc Mélenchon et du Parti de la gauche radicale grec Syriza d’Alexis Tsipras, lundi 21 mai à Paris, en « solidarité avec la Grèce » et contre « la dictature des marchés ».
Rejetant le mémorandum d’assistance de la Grèce par la Banque Centrale européenne et le Fonds Monétaire International, Alexis Tsipras, le leader du parti de la gauche radicale grecque a expliqué « on ne négocie pas avec l’enfer ».
« Résistance, résistance »
Présent à ses côtés, Jean-Luc Mélenchon, chef de file du Front de Gauche a demandé « aux socialistes, qui sont à une rue d’ici (non loin de l’Assemblée nationale, ndlr), de le recevoir, au moins par camaraderie, au moins par internationalisme, même s’ils ne sont pas d’accord avec lui, pour l’aider dans le dur chemin qu’il a entrepris. Pour une fois, faites preuve de solidarité internationaliste ». Alexis Tsipras n’aura pas été reçu par des membres du nouveau gouvernement français. Ce dernier a estimé que François Hollande devrait « comprendre qu’il lui faudra répondre à des questions cruciales. Si le peuple français a voté pour lui, c’est pour faire une autre politique que celle de Nicolas Sarkozy ».
A l’occasion du rassemblement à Paris, Alexis Tsipras a appelé « à faire pression sur le gouvernement français pour qu’il tienne les engagements qu’il a pris avant les élections » et « qu’il arrête de faire des chantages au peuple grec, qui est souverain ». Ce dernier a déclaré que ce n’est pas à Angela Merkel de décider d’un référendum en Grèce : « la Grèce est un pays souverain (...). Ce n’est pas à Mme Merkel de décider si nous allons avancer vers un référendum ou non ».
Crédité de 21 à 28% des intentions de vote pour les prochaines élections en Grèce le 17 juin, le leader de Syriza a réaffirmé son refus de négocier le nouveau plan d’austérité de la troïka (Union européenne, Banque centrale et FMI). Alexis Tsipras a du rencontré mardi 22 mai, à Berlin le leader de Die Linke Oskar Lafontaine.
« On ne négocie pas avec l’enfer ».
« Il n’y a rien à négocier dans le mémorandum (le plan d’austérité de l’UE, du FMI et de la BCE pour la Grèce, ndlr) car on ne négocie pas avec l’enfer », a affirmé également Alexis Tsipras, lors d’une conférence de presse, avant le rassemblement de lundi 21 mai à 18h30. Ce dernier a ajouté que « ce qu’il s’agit de rediscuter, ce n’est pas le mémorandum, mais la dette publique. Mme Merkel doit comprendre qu’elle est un partenaire comme les autres (...) dans une euro zone sans locataire ni propriétaire ».
Le leader de Syriza, arrivé en seconde position lors des élections législatives du 6 mai, a mené son programme contre les mesures d’austérité imposée par la troïka depuis le début de la crise. Devenu la coalition dominante au Parlement, il est resté fidèle à son projet et n’a pas créé d’alliance gouvernementale, avec les pro-austérités. En visite en Europe, Alexis Tsipras a réitéré la souveraineté de son pays et a proposé de changer de politique monétaire et non de monnaie. Faisant fi des observateurs et économistes qui réfléchissent au retrait de la Grèce dans la zone euro. Jean-Luc Mélenchon a expliqué que « le vrai débat n’est pas de savoir s’il faut ou non sortir de l’euro mais s’il faut rompre avec le capitalisme financiarisé et les politiques euro-libérales. Le problème n’est pas l’euro : ce sont les politiques qui sont menées en son nom », ce qu’Alexis Tsipras a réaffirmé à Berlin, mardi 22 mai.
Céline Tabou
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