
IV- La reconnaissance enfin ! Il entre à l’Académie française
7 octobre 2008, parEn 1852, suite à la perte de textes de Leconte de Lisle, l’éditeur lui promet de faire paraître gratuitement un de ses recueils de poèmes. Certes (…)
Chroniqueur
En 1852, suite à la perte de textes de Leconte de Lisle, l’éditeur lui promet de faire paraître gratuitement un de ses recueils de poèmes. Certes (…)
Leconte de Lisle naît en 1818 à Saint-Paul, d’un père venu de Bretagne, ancien chirurgien des armées napoléoniennes assez instable, et d’une (…)
Evariste de Parny a montré dans ses écrits qu’il ne partageait pas les idées esclavagistes et colonialistes dominantes de son vivant. C’est (…)
Louis Héry n’est pas né à La Réunion, mais en Bretagne en 1801, et n’arrive ici qu’en 1820. Alors pourquoi parler de lui dans une rubrique (…)
Lescoubles n’est pas un colon ordinaire : on a vu qu’il s’est fait acteur de l’histoire en tant que franc créole et partisan de la liberté de la (…)
Kan lo prézidan La Frans la pran son tour pou li ète prézidan lo konsèy l’Europ, in zournalist la koz avèk li konmm "prézidan l’Europ". Li mèm la (…)
Jean baptiste de Lescouble est un personnage connu de tous ceux qui s’intéressent peu ou prou à l’histoire de La Réunion. On peut dire de lui (…)
Le code noir ouvre la possibilité pour les maîtres d’affranchir un ou plusieurs esclaves pour des motifs légitimes. On peut s’interroger sur la (…)
Nous allons évoquer aujourd’hui un aspect essentiel du code noir, qui porte sur le statut juridique de l’esclave. L’esclave est un bien meuble ce (…)
On a vu dans notre dernière chronique comment le Code noir tente de verrouiller toute possibilité pour les personnes de condition servile (…)
Dans l’exposé qui suit, nous allons examiner les questions relatives aux mariages mixtes (libre-esclaves) et entr’esclaves, le concubinage entre (…)
Nous avons commencé dans le journal du mardi 2 juin le commentaire du code noir. Nous continuons dans ’Témoignages’ de ce jour notre commentaire. (…)