Chagos

Mézami lo pèp shagossien i sorte avoir in grande pèrte avèk la mor Mimose Furcy, la sèr Olivier Bancoult épi la fiye Rita Bancoult. Zot i koné nou lé fine anparl sa dopi inn-dé somenn.
Bande zoinal Maurice la anparl son déssé konm in pèrte konsidérab pou lo pèp Chagossien é mèm pou la Répiblik Maurice… Dann zoinal Le Mauricien i anparl Mimose konm la méyèr konésséz la kiltir shagossienne an partikilyé lo Séga Tambour rokoni par l’Unesco konm patrimoine immatèriel limanité an gran danzé.
Si mi anparl sa zordi (...)

Mézami in pèp an lite i amenn son konba dsi plizyèr fron : son konba lé ékonomik, li lé sossyal, li lé kiltirèl, li lé ossi plizanpliss anvironemantal é sak lé vré pou nou lé vré galman pou toute bann pèp an lite. Lé vré pou Chagos, assiréman.
Si bonpé d’moune i oi lo konba ékonomik épi lo konba sossyal konm inportan, zot la pran labitide konsidèr lo kiltirèl konm sogondèr é la plipar d’tan lo fron anvironemantal konm késhoz ni pé pa azir dossi. Lo kiltirèl pou bonpé d’moune sa i konfonde avèk l’amizman poitan (...)

C’est avec tristesse que nous apprenons le décès de Mimose FURCY, membre émérite de la communauté chagossienne.
Elle faisait vivre et transmettait la culture chagossienne, dont le Séga Tambour Chagos, musique reconnue au patrimoine immatériel de l’UNESCO en tant musique en grand dangers de disparition.
Nos pensées les plus sincères vont à son frère Olivier BANCOULT, à sa famille ainsi qu’à toute la communauté chagossienne.
Nous reprenons ici le message publié tôt ce matin (...)

Une cérémonie commémorative a réuni samedi les membres de la communauté chagossienne, entourée de soutiens amis venus de divers points du monde, et des représentants de l’État mauricien au plus haut niveau, pour le 50e anniversaire de la déportation du peuple chagossien.
L’événement qui a été organisé à l’île Maurice les 17 et 18 juin rappelle que c’est dans l’île sœur que les Chagossiens ont entrepris leur long combat depuis 40 ans et que leur archipel est historiquement rattaché à l’île Maurice – comme cela a (...)

Ce samedi 17 juin 2023, Le Groupe Réfugiés des Chagos (GRC) organisait la commémoration des 50 ans de la dernière déportation. Une délégation de 27 réunionnais était présente pour ce moment historique.
Nous avons été nombreux à avoir fait le déplacement Réunion-Maurice pour participer aux cérémonies du 50ème anniversaire du dernier convoi de déportation des Chagossiens.
Nous remercions le Groupe Réfugiés des Chagos pour leur accueil chaleureux.
L’événement auquel nous avons assisté « Aujourd’hui ce n’est (...)

Les Chagossiens commémorent, en ce moment, le souvenir du dernier groupe de déportés. C’est un triste anniversaire d’une décennie de déportation.
De 1963 à 1973, les autorités britanniques ont méthodiquement vidé l’archipel de Chagos de toute présence humaine. Les habitants ont été dirigés vers les Seychelles et Maurice et abandonnés sur les quais. Derrière eux, les chiens ont été capturés et exterminés par gaz dans le calorifère qui servait de séchage de cocos. C’était les conditions exigées par les (...)

Du 2 au 10 juin 2023 une délégation, conduite par Olivier Bancoult, le leader du Groupe Réfugiés Chagos (GRC), était en déplacement à Rome, plus particulièrement au Vatican. Fait exceptionnel : il rencontre le Pape pour la deuxième fois. La délégation lui a fait un compte rendu de la situation. Elle a sollicité sa bénédiction dans l’immense travail de réparation et de reconstruction qui s’annoncent.
Une audience exceptionnelle
Ils n’étaient pas sûrs de pouvoir lui parler en personne. Mais malgré son état (...)

En fin de semaine les 17 et 18 juin prochains, nos amis chagossiens s’apprêtent à commémorer le dernier convoi de déportés de leurs îles natales sur ordre du gouvernement de la Grande Bretagne. D’autres convois l’avaient précédé en vue de la déportation complète de ce peuple soit vers Maurice même soit vers les Seychelles… et cela s’est passé il y a cinquante ans. Ceci afin d’accréditer un mensonge d’Etat fait auprès des plus hautes autorités internationales et selon lequel les Iles Chagos n’étaient pas (...)

Mézami zot i pé domandé pou kossa zordi mi vé anparl sa, é pou kossa mi éstime bannzil-la i sava rante plin-pyé dann laktyallité noute l’oséan indien, dann noute l’aktyalité boudikonte. Afors bannzil-la lété pa konu, finaldekonte, alala zot va fèr san tardé zot rantré dann la vré vi noute l’oséan indien é donk wala pou kossa mi vé anparl sa zordi.
Mon bande dalon, pou mwin sa i komanss avèk in karte : pa la karte noute gran l’oséan indien ni amontr shak foi néna in manifèstassion dsu bannzil-la, pa la karte (...)

Mézami, mwin lé sirésèrtin in pé rantre nou i panss noute loséan indien avèk son bande téritoir lé fini dékolonizé, arshi-dékolizé. Lé possib galman sak i éspass par rapor bande Shagoss i lèss demoune panssé sète afèr d’dékolonizassion, sa sé in n’afèr d’fète.
Mé konm i di, i fo pa ni pran noute dézir pou la réalité. Néna ankor in bonpé téritoir dann loséan indien i viv sou lo réjime kolonizé. Néna in bonpé téritoir lé pa ankor lib. An parlan d’ Shagoss, néna in bon pa d’fé mé si koméla i diskite ni koné pa kansa lo (...)